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26 juin 2014

Le sieur Dieu

Giesbert, Franz-Olivier

Le sieur Dieu Giesbert

Nous sommes dans le Comtat Venaissin en 1545. Pendant que les troupes de François 1er et du Pape exécutent les Vaudois du village de Mérindol, un criminel en série s’acharne à voler le foie des fillettes de la région. Un maître chirurgien moraliste et aventurier observe, impuissant.
Comme dit si bien son auteur : « Le roman consiste à faire du vrai avec du faux et inversement ». Magnifique roman, à lire !

Membre : Outremont

Giesbert, Franz-Olivier. Le sieur Dieu, Éditions Grasset, 1998, 409 pages.

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26 juin 2014

L’Immeuble Yacoubian

El Aswany, Alaa

L-Immeuble Yacoubian

Roman qui trace un portrait du Caire et de l’Égypte sur une période d’environ 50 ans. Un portrait social tellement vivant qu’on croit entendre la musique et sentir les odeurs de cette grande capitale. D’une grande humanité ! Pour un premier roman, un coup de maître qui a été très rapidement adapté au cinéma.

Membre : Outremont

El Aswany, Alaa. L’Immeuble Yacoubian, Éditions Actes Sud, Leméac, 2002, 2006, 326 pages.

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26 juin 2014

Moon Palace

Auster, Paul

Ce livre de Paul Auster, Moon Palace, a été publié en 1989. Je suis tombée sous le charme en 1993 et encore une fois, dernièrement. Il nous tient en haleine du début à la fin.
Marco Stanley Fogg, orphelin de mère et abandonné par son père, est élevé par son oncle Victor. Ce dernier, à sa mort, lèguera ses 1492 livres, à son neveu Marco, étudiant à Columbia, qui les lira tous et les vendra pour vivre avant d’être expulsé de son appartement. Au lieu de chercher du travail, il se laissera descendre aux enfers en vivant dans Central Park. David Zimmer, un ami d’université, le sortira de ce pétrin.
Auster évoque le dépouillement qui est une façon d’atteindre un niveau de conscience élevé. Fogg se reprendra en main et certains événements changeront sa vie. Époustouflant !

Membre : Outremont

Auster, Paul. Moon Palace, Éditions Actes Sud, 1989, 1990, 363 pages.

Cette oeuvre a déjà été suggérée par le Club des Irrésistibles, lire ici.

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26 juin 2014

La Curée

Zola, Émile

La Curee

J’ai adoré ! Il s’agit du second roman de la série des Rougon-Macquart. La spécialité de Zola ? Ses descriptions. Celles de la société parisienne des années 1850 sous l’Empire. Ici, il est surtout question de la tentation de l’or et de la tentation de la chair. Un exemple ? « Mme Guende était tellement bête et tellement bien faite, qu’elle avait pour amants trois officiers supérieurs à la fois, sans pouvoir les distinguer, à cause de leur uniforme ; ce qui faisait dire à ce démon de Louise qu’elle les forçait d’abord à se mettre en chemise, pour savoir auquel des trois elle parlait. »
Pour ce qui est de la tentation de l’or, il suffit de vous dire que les entourloupettes que l’on entend à la Commission Charbonneau ne datent pas d’hier. Les fonctionnaires de cette époque (on refait toutes les grandes artères de Paris) savaient comment s’y prendre pour se remplir les poches. Et, mine de rien, ce roman ressemble étrangement à un thriller.

Membre : Villeray

Zola, Émile. La Curée, Éditions Gallimard, collection Folio classique, 1872, 1981, 384 pages.

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26 juin 2014

De chair et d’âme

Cyrulnik, Boris

De chair et d-ame

Un livre audacieux et dérangeant écrit par le neuropsychiatre, Boris Cyrulnik. Ce dernier veut réconcilier le corps et le psychisme. Ce volume entreprend tout simplement de modifier notre représentation du monde. L’inventeur du concept de la résilience dénonce la dictature du tout biologique. C’est là l’oeuvre d’un libre-penseur qui nous montre un chemin et nous encourage à sortir de notre conditionnement physique, matériel et biologique pour exercer notre libre-arbitre. Un volume de réflexion !

Membre : Laval

Cyrulnik, Boris. De chair et d’âme, Éditions Odile Jacob, 2006, 255 pages.

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26 juin 2014

Retour en Islande

Jóhann Ólafsson, Ólafur

Retour en islande

Voici ce qui figure en quatrième de couverture : « Disa s’apprête à retourner dans son Islande natale après vingt ans d’exil en Angleterre, où elle dirige de main de maître les cuisines de sa belle auberge. Préparatifs, repas d’adieux, dernière inspection de la maison et des objets familiers, transfert en voiture, traversée en mer, chaque étape de son voyage ouvre les vannes à un flot de souvenirs que sa vie si bien ordonnée avait pu lui faire croire enfouis.
Au fil de constants allers et retours dans le temps se dessinent son enfance en Islande, son apprentissage passionné de l’art culinaire, ses premières amours avec Jakob, le juif allemand qui mourra dans un camp de concentration, ses années au service d’un banquier dont le fils lui fera un enfant qu’elle sera contrainte d’abandonner à la naissance. C’est ce fils à présent adulte qui motive le voyage de Disa : se sachant condamnée par une terrible maladie, elle veut le voir avant de mourir. »
C’est un roman rempli d’une certaine tristesse, mais qui est absolument magnifique. Je vous le conseille fortement.

Titre original : The Journey Home

Membre : Web

Jóhann Ólafsson, Ólafur. Retour en Islande, Éditions du Seuil, 1999, 2004, 296 pages.

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26 juin 2014

La Mer de la tranquillité

Trudel, Sylvain

Mer_tranquillite

Je n’aime pas les nouvelles. J’aime Sylvain Trudel. Donc j’ai lu les neuf nouvelles qui composent ce recueil.
L’écrivain se complait ici dans le sombre mais dans le lucide… Un retour à son enfance… L’effondrement de la religion… Difficile de positionner ces nouvelles dans le temps. Trudel se questionne… Avec le temps, il prendra du mieux.
Bref, la langue est spectaculaire, le style extraordinaire. Cela vaut le détour.

Membre : Laval

Trudel, Sylvain. La Mer de la tranquillité, Éditions Les Allusifs, 2006, 185 pages.

Cette oeuvre a déjà été suggérée par le Club des Irrésistibles, lire ici.

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26 juin 2014

Muchachas. 2

Pancol, Katherine

Muchachas 2

Enfin, j’ai retrouvé une Katherine Pancol passionnante et vivante dans ce deuxième volume. Les filles sont partout dans ce roman. De New York à Paris, de la Bourgogne à Londres ou à Miami. Des filles qui aiment, inventent et s’enflamment, des filles qui se battent pour vivre. Et, les hommes affichent présents. Les Muchachas font voler les destins en éclat.
Une lecture d’été intéressante. Bonne lecture !

Membre : Germaine-Guèvremont

Pancol, Katherine. Muchachas. 2, Éditions Albin Michel, 2014, 408 pages.

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26 juin 2014

Les Suprêmes

Moore, Edward Kelsey

Les Supremes

Ce qui m’a donné envie de lire ce livre, c’est le titre qui m’a fait penser au groupe du même nom : j’adore The Supremes. Je sais, c’est kitch, mais j’assume. De plus, je trouvais la couverture très belle.
Les Suprêmes du roman sont Odette, Clarice et Barbara Jean, amies depuis l’adolescence ; elles ont grandi dans le même quartier populaire de Plainview dont elles sont les stars ! Elles sont liées par une amitié sans failles, elles partagent leurs secrets, parfois lourds, parfois légers. Odette est la plus drôle, Clarice, la plus trompée, Barbara Jean, la plus fragile. Un trio inséparable, soudé. Et au fil des pages, on découvre le passé des trois amies, leurs vies…
C’est avec beaucoup de surprise que je l’écris, mais je n’ai pas aimé ce roman, pas assez rythmé, un peu mièvre, débordant de bons sentiments. Pourtant il avait de quoi me plaire : une histoire d’amitié, des secrets, des révélations, des trahisons, des fantômes, mais ce livre est peut-être trop formaté, trop guimauve et il lui manquait la musique des Supremes !

Titre original : The Supremes at Earl’s All-You-Can-Eat

Membre : France

Cette suggestion est proposée par un lecteur, du Pays de Romans – France, membre du club de lecture Troquez vos Irrésistibles et partenaire du Club Les Irrésistibles des Bibliothèques de Montréal.

Moore, Edward Kelsey. Les Suprêmes, Éditions Actes Sud, 2013, 2014, 315 pages.

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26 juin 2014

Extrêmement fort et incroyablement près

Foer, Jonathan Safran

Extremement fort et incroyablement pres

Un roman réussi, inventif où la typographie fait partie intégrante de l’histoire. Un brin déstabilisant, mais une expérience incontournable pour les aventuriers du domaine littéraire. « Extrêmement » intéressant et « incroyablement » original. Vous serez nourris pendant des semaines après la lecture, comme après un beau voyage.

Titre original : Extremely Loud and Incredibly Close

Membre : Outremont

Foer, Jonathan Safran. Extrêmement fort et incroyablement près, Éditions de l’Olivier, 2005, 2006, 424 pages.

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26 juin 2014

Le Billet de la semaine

Bonjour à vous toutes et à vous tous,

Décidément… Quel été en art visuel ! Cette fois, petite virée du côté d’Ottawa où j’ai vu l’exposition Gustave Doré (1832-1883). L’Imaginaire au pouvoir, présentée au Musée des beaux-arts du Canada jusqu’au 14 septembre 2014.
Collaboration du MBAC et du Musée d’Orsay de Paris, cette exposition est sous le commissariat de Paul Lang, sous-directeur et conservateur en chef du MBAC, d’Édouard Papet, conservateur en chef au Musée d’Orsay et de Philippe Kaenel, professeur d’histoire de l’art à l’université de Lausanne et spécialiste de l’artiste.
Petit aveu en commençant : je connaissais peu l’œuvre de cet illustrateur, peintre, sculpteur et graveur né à Strasbourg et mort, à 51 ans à Paris. Après ma visite au musée, un mot me vient à l’esprit : polyvalence. Il y a à voir près de cent œuvres : une trentaine d’huiles sur toile, plusieurs illustrations de livres, des bronzes, des plâtres, plusieurs dessins préparatoires ainsi que des lithographies. L’exposition présente un documentaire et aussi quelques extraits de film inspirés par l’iconographie de Doré.
Quelques exemples de son talent : il a illustré La Divine Comédie et L’Enfer de Dante, Les Cent Contes drolatiques d’Honoré de Balzac, Les Contes de Charles Perrault, Don Quichotte de Cervantès et également La Bible. Et que dire de certaines de ses gravures ou de ses toiles ? Quelle énergie créatrice chez cet autodidacte qui n’a appartenu à aucune école !
Si vous passez par Ottawa, l’exposition est un arrêt obligatoire pour découvrir un artiste un peu tombé dans l’oubli, malgré toute la notoriété qu’il a eue de son vivant. Une belle initiative du MBAC. Bravo !

Je vous souhaite une très belle fin de semaine et bonnes lectures,


Marie-Anne

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26 juin 2014

Le Chardonneret

Tartt, Donna

Le chardonneret

Je peine à trouver les mots pour inciter des amis à lire Le Chardonneret. Je ne sais si j’aurais préféré la version originale. L’ostentation de la traduction et les coquilles entravent la lecture. J’admire l’imagination de l’auteure. Je lui reproche de nous abandonner dans des considérations existentielles qui n’incitent pas à poursuivre la réflexion. J’ose croire qu’on ne fera pas de rapprochement avec le conte Les Habits neufs de l’empereur (1837).

Titre original : The Goldfinch

Membre : St-Eustache

Tartt, Donna. Le Chardonneret, Éditions Plon, 2013, 2014, 787 pages.

Cette oeuvre a déjà été suggérée par le Club des Irrésistibles, lire ici.

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26 juin 2014

La Femme du Ve

Kennedy, Douglas

Harry Ricks, personnage principal, professeur dans une université américaine, a fui son pays à la suite d’un drame important et mystérieux pour se réfugier dans un hôtel du Xe arrondissement. Il y découvre un Paris misérable, plein de combines. Harry survit dans une chambre de bonne crasseuse. Il n’a plus de contact avec sa famille. La passion fait irruption dans sa vie grâce à une rencontre avec Margit une Hongroise sensuelle. Elle est très énigmatique : Harry ne devra pas lui poser de questions sur son passé et il pourra la voir deux fois par semaine, à dix-sept heures dans son appartement du Ve. Il sera envoûté par elle… Margit finira bien par gérer sa vie et il se produira autour de lui de très nombreuses coïncidences. Un cauchemar savamment orchestré par Kennedy à son meilleur.
Un roman surprenant et excitant ; le commencer, c’est vouloir le terminer rapidement. J’ai beaucoup aimé…

Titre original : The Woman in the Fifth

Membre : Laval

Kennedy, Douglas. La Femme du Ve, Éditions Belfond, 2007.

Cette oeuvre a déjà été suggérée par le Club des Irrésistibles, lire ici.

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26 juin 2014

Les Choses terrestres

Beauchemin, Jean-François

Les choses terrestres beauchemin

On se laisse facilement séduire par Beauchemin. C’est là un troisième roman des aventures quotidiennes de la famille Des Ruisseaux. Jérôme (30 ans) a épousé son amour d’enfance, Joëlle, un ange. Tous les deux prennent soin du petit frère Jules (17 ans) attardé. Jérôme a perdu son père dans Comme enfant je suis cuit (1998), sa mère dans Garage Molinari (1999), il pourrait peut-être perdre son frère dans Les Choses terrestres. Mais à force de cures de beauté et de bonté, Jules parviendra à refaire surface.
Jean-François Beauchemin est obsédé par deux ou trois choses dont on ne parle plus beaucoup : la splendeur de la vie, le silence obstiné des dieux, l’outrageuse domination du travail, la gigantesque machine qu’est l’argent. C’est un auteur rempli de bons sentiments. Cela envoûte le lecteur !

Membre : Laval

Beauchemin, Jean-François. Les Choses terrestres, Éditions Québec Amérique, 2001, 280 pages.

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19 juin 2014

Safari noir : du Caire au Cap à travers les terres

Theroux, Paul Edward

Safari noir

Je viens de lire ce récit de voyage de l’écrivain américain Paul Theroux (il avait un père québécois). L’auteur a traversé le continent africain du Caire jusqu’au Cap en autocar et a fini son voyage chez l’auteure Nadine Gordimer. Il porte un regard très lucide et très critique sur le développement du continent où il avait déjà enseigné jeune homme. C’est presque un miracle qu’il ait survécu à cette odyssée. J’admire son courage de faire un tel voyage, seul, à l’âge de 60 ans et son talent à décrire ce qui se passe autour. Le début est moins intéressant, mais ensuite je n’ai plus pu le laisser. Ce livre m’a longtemps « accompagnée ».

Titre original : Dark Star Safari : Overland from Cairo to Cape Town

Membre : Westmount

Theroux, Paul Edward. Safari noir : du Caire au Cap à travers les terres, Éditions Grasset, 2003, 2004, 524 pages.

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19 juin 2014

La Lettre qui allait changer le destin d’Harold Fry arriva le mardi…

Joyce, Rachel

la lettre qui allait prise 2

Harold Fry sort à la recherche d’une boîte aux lettres pour poster la réponse qu’il a écrite à son amie, en phase terminale d’un cancer, à l’autre bout de l’Angleterre. Il n’est pas content de sa réponse, il n’a pas trouvé les mots justes. Sans l’avoir prémédité, il part avec ses chaussures de bateau pour retrouver son amie. « Attends-moi, j’arrive ! » Elle l’attendra, malgré tous ces kilomètres à pied, toutes ces rencontres, tous ces doutes et ces souvenirs qui ressurgissent au travers de ce long voyage au bout de lui-même.
Joli roman, touchant et pudique, avec la description d’une Angleterre des petites gens, ceux qui aiment Jane Austen !

Titre original : The Unlikely Pilgrimage of Harold Fry

Membre : France

Cette suggestion est proposée par un lecteur, du Pays de Romans – France, membre du club de lecture Troquez vos Irrésistibles et partenaire du Club Les Irrésistibles des Bibliothèques de Montréal.

Joyce, Rachel. La Lettre qui allait changer le destin d’Harold Fry arriva le mardi…, Éditions XO, 2012, 363 pages.

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19 juin 2014

Personne n’est une île

Rivard, Yvon

Personne est une île

Yvon Rivard occupe une place exceptionnelle dans la littérature québécoise à titre de romancier. Personne n’est une île réunit une vingtaine de textes parus dans diverses publications entre l994 et 2006. L’auteur y aborde plusieurs thèmes de réflexion : l’amour, l’écriture, la lecture, les souvenirs d’enfance et les oeuvres qu’il aime. Ce recueil, d’une écriture sublime, s’adresse autant à la tête qu’au coeur. À lire tout doucement ! Bonne lecture.

Membre : Germaine-Guèvremont

Rivard, Yvon. Personne n’est une île, Éditions Boréal, collection Papiers collés, 2006, 258 pages.

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19 juin 2014

22/11/63

King, Stephen

22-11-63_Stephen King

Par une brèche temporelle, sorte de tunnel entre deux époques, un homme parvient à retourner dans le passé. Ce livre a été proposé plusieurs fois par les membres du Club des Irrésistibles et je rejoins leur enthousiasme. Un des meilleurs Stephen King. Ce livre m’a surprise de toutes les façons : la psychologie des personnages se tient ; c’est aussi une fresque sociale, une reconstitution historique autant qu’un roman d’aventure. Bref, je l’ai dévoré.

Membre : Germaine-Guèvremont

King, Stephen. 22/11/63, Éditions Albin Michel, 2011, 2013, 937 pages.

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19 juin 2014

Dans le silence du vent

Erdrich, Louise

Ce livre m’a fait découvrir un monde insoupçonné. Les réserves d’Indiens n’évoquaient rien pour moi. J’avais juste conscience du véritable génocide qui n’a entraîné aucune repentance, mais pas du tout appréhendé le présent. Le récit est intéressant, les personnages vivants, l’atmosphère prenante et les sujets de réflexion infinis.

Titre original : Round House

Membre : France

Erdrich, Louise. Dans le silence du vent, Éditions Albin Michel, collection Terres d’Amérique, 2012, 2013, 461 pages.

Cette oeuvre a déjà été suggérée par le Club des Irrésistibles, lire ici.

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19 juin 2014

La Tête de l’emploi

Foenkinos, David

La tete de l-emploi

L’auteur nous avait comblés avec La Délicatesse (2009). Depuis, Je vais mieux (2013) et La Tête de l’emploi, sont plus légers : du comique au drame. Lecture à tout va et écriture simple. Un héros de 50 ans, au visage avalé par le col cheminée de son chandail rouge, est un employé de banque. Ce dernier perd tout : sa femme, son emploi, sa fille et son image. Il se voit donc contraint de retourner vivre chez ses parents. Il passera rapidement à l’oubli. Malgré tout, cela nous fait rire. Bonne lecture !

Membre : Germaine-Guèvremont

Foenkinos, David. La Tête de l’emploi, Éditions Flammarion Québec, 2014, 285 pages.

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